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La geisha chausse des " zori " ou des " okobo ". Les Okobo sont des chaussures en bois, pointues, assez hautes, avec des lanieres laquées

Les Zori sont des sandales en paille grossierement µtilisés alors que ceux de la Geisha sont laqués.


La geisha porte également des chaussettes blanches appelées " tabi ". Ces chaussettes se boutonnent sur le côté de la cheville pour en épouser parfaitement la forme.
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Le " obi "
, ceinture le kimono. C'est le noeud qui s'attache dans le dos.
Un obi peut mesurer trois metres cinquante de long, sur cinquante centimetres de large.
Enroulé autour de la taille, il va du sternum au nombril. Divers rembourrages sont indispensables pour donner au noeud la forme adéquate.
La différence entre une Geisha et une prostituée réside dans le port du " Obi ". Le obi chez une prostituée s'attache devant. Une femme qui doit ôter puis remettre son obi toute la soirée, ne peut prendre le temps de le rattacher chaque fois dans son dos.
Les jeunes filles geishas s'habillent de façon plus sophistiqué que les femmes geishas :
des couleurs plus vives, des tissus plus voyants, un obi plus long.
Une femme mure portera son obi noué dans le dos " en noeud de tambour " (en forme de boîte), que l'on réalise avec une petite longueur de tissu.
Une fille de moins de vingt ans, portera un obi spectaculaire et une apprentie geisha un obi en forme de traîne ou " darari boi ", noué au niveau des omoplates et dont les extrémités traînent presque par terre.
Quand une apprentie geisha marche dans la rue vous ne verrez que son obi, il couvre la majeure partie de son dos. C'est le poids du obi qui rend son port difficile.


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Le kimono constitue l'élément essentiel de la garde robe. Les kimonos enveloppés dans des papiers de soie sont rangés dans un petit local. Dans ce local se trouvent des étageres sur lesquelles des boîtes en laque rouge sont empilées le long du mur jusqu'au plafond, formant 2 remparts entre lesquels on peut à peine passer. A chaque extrémité du local, il y a des bouches d'aération avec des lattes très fines. Sur chaque boîte des idéogrammes indiquent à qui appartient le kimono.
Les Geishas redoutent les incendies en raison de la valeur de certains kimonos. Ainsi, les kimonos les plus précieux sont stockés dans un coffre, à la banque. Tous les kimonos sont de la même longueur, quelle que soit la femme qui les porte. Aussi doit-on replier le tissu sous l'obi - excepté pour les très grandes femmes -. Il est rare qu'une geisha prete les kimonos de sa collection personnelle. Citons au passage le célebre créateur de kimonos de l'époque : Arashino. Le plus cher des kimonos coutait largement plus que le revenu annuel d'un paysan.
Sous le kimono, la geisha porte une combinaison :
" Ro " (en gaze de soie légere, pour l'été), " Hitoe " (non doublée pour l'automne).
Quand une geisha danse sur scene ou marche dans la rue, il lui arrive de soulever légerement le bas de son kimono de la main gauche afin de se mouvoir plus facilement. Sa combinaison apparaît, dans la partie comprise entre sa cheville et le dessous de ses genoux. Ainsi, le motif et le tissu de la combinaison doivent-ils rappeler ceux du kimono. Le col de la combinaison dépasse, comme le col de chemise d'un homme qui porte un costume. Chaque jour, un col de soie est cousu sur la combinaison, le lendemain ce col est décousu puis lavé.



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